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Objectif Marathon

Carnet d'entraînement de Tiouz

Courses et récits

La préparation, les compte-rendus de mes courses, et les bilans que j'en fais.

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10 km de Paris 14 : mi figue mi-raisin

L'an dernier j'avais déjà couru pour cette événement et ça avait été une belle matinée de course. Je remettais donc le couvert cette année, avec pour simple ambition de profiter de la course. Ma forme ne me permettait pas de viser plus. A peine 10 jours d'entrainement sérieux...

Après un lever un peu tardif, je m'habille rapidement et trottine en sortant de chez moi jusqu'aux inscriptions. Le luxe ! Ouf ! Il reste des dossards. Il fait gris et très froid, je vais donc ensuite m'abriter dans le café d'en face. Chocolat chaud avant la course ! Une demi-heure plus tard me voilà dans le sas unique, plutôt bien placé d'ailleurs.

Le départ est donné à l'heure, et me voilà parti ! Trop bien placé je me laisse entrainer. Je visais 4'30" au kilo et me voilà en 4'26" au premier kilomètre malgré les piétinements lié au parcours un peu téroit, et aux voitures garées en travers... Second kilomètre, 4'23", c'est pas bien, je sens que je vais un peu vite. j'ai oublié de dire que mon cardio est en grève, je pilote aux sensations. Le parcours remonte un peu sur la rue R. Losserand. Or, 3ème kilo en 4'19". Là je sens que je vais griller... 4ème en 4'37", toujours en légère montée, et nous bouclons le premier tour avec un 5ème kilo en 4'15". (21'58")

Là je sens que je n'aurai pas la caisse pour poursuivre à ce rythme, et je n'ai pas le moral ou la volonté pour m'accrocher. je lève un peu le pied et tâche donc de finir entier. 4'27", 4'32", 4'27", j'essaie de rester relâché, je ne force pas. Plus que deux km et je sais que je vais finir. 4'28" puis la dernière bosse et un petit sprint final 4'26". Soit 44'18" au total. Pas trop mal, je suis dans mon objectif, mais c'est 45" de plus que l'an dernier et un joli positive split. La prochaine fois il faudra partir moins vite.

Le circuit est toujours aussi sinueux, les premiers kms ça piétine un peu, il n'y a quasiment pas de public mais dans l'ensemble j'aime bien cette course. Elle termine par un bol de soupe chaude, puis je rentre en trottinant chez moi, prendre une douche bien méritée et retrouver la petite famille.

Un temps inespéré

Mon dernier marathon remontait à Paris 2007: sous la chaleur, plus de 25° j'avais franchi la ligne d'arrivée... et m'étais réveillé à la Croix-Rouge: coup de chaud !

Pour reprendre, il m'avait semblé judicieux de prendre un marathon plat, sans risque de chaleur : La Rochelle bien sûr ! Outre l'occasion de découvrir un nouveau marathon français, de bonne renommée, et de rendre visite à des amis habitant la région, cela s'est révélé un excellent choix, dans cette perspective d'éviter la chaleur...

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Un sacré magot !

Les Gendarmes et les Voleurs de temps était ma première expérience de course nature : 32 km de bois dans les monts d'Ambazac. Ne me sentant pas l'âme d'un gendarme, j'ai plutôt pris le parti des voleurs, et je ne me suis pas privé : j'en ai ramassé des secondes, des minutes et des heures de course ! Et comme les gendarmes étaient partis devant et que je me fondais dans la foule des 2800 coureurs, j'ai pu repartir avec tout mon magot de souvenirs et de sensations, les bonnes et les moins bonnes !

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Enormes félicitations

Pour la première fois, j'ai le plaisir de publier un billet "invité". Karl est un copain qui court vite, très vite, comme vous le montrera son récit du Marathon de Paris. Et son leitmotiv c'est aussi qu'il est mal préparé, pas en condition pour faire un temps, etc. Ne vous laissez pas abuser !

Place au récit et encore bravo Karl !

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Une belle matinée de course

Première course de l'année, le 10 km du 14ème présente l'avantage d'être vraiment la course de MON quartier. Pas de transport, la douche est à proximité et tout confort... Petit récit de cette 25ème édition ayant attiré près de 1200 coureurs.

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Vive les courses de quartier sans pression !

Dimanche matin, 7h30. Le réveil sonne, il est plus que temps de me lever, la course démarre à 9h00. J'engloutis un petit déjeuner léger, normalement les pâtes en sauce de la veille, en quantité importante, devraient me suffire pour le carburant. J'en ai encore le ventre lourd, et les jambes semblent se souvenir des quelques verres de vin.

8h, me voilà parti pour un premier échauffement jusqu'au lieu du départ, une dizaine de minutes de footing léger. Prise du dossard sans problème, l'organisation est conviviale. Il fait frais mais je ne souffre pas d'être parti directement en tenue de course car je repars pour une dizaine de minutes d'échauffement dans le Luxembourg: accélérations, fondamentaux, comme d'habitude.

9h, tout le monde se regroupe tranquillement et sans bousculade derrière la ligne de départ. Je suis calme, tranquille, j'écoute les conversations. Il y a apparemment 400 personnes au départ et le speaker fait lourdement allusion à Paris-Versailles qui se court le même jour.

C'est parti pour les 3 boucles successives. Pour résumer le parcours, la seconde moitié est un long faux-plat (ou une légère montée selon le point de vue) depuis Saint-Sulpice jusqu'à Port-Royal, la première est constituée de faux-plat descendants et d'une descente un peu plus marquée le long du Luxembourg.

Je pars en essayant de modérer mes ardeurs, je vise 13,5 km/h sur le plat et je suis un peu trop vite aux alentours de 14,5 km/h. La descente est propice à trouver son calme, même si l'allure est élevée. A 400, ça ne bouchonne pas et c'est bien agréable. Première montée, je tempère l'allure mais reste proche de 13 km/h sans trop forcer. Ca passe pas mal du tout, je me sens bien.

Je boucle le premier tour (un peu plus court que les autres) en 12'54" pour 173 pulsations de moyenne. Il n'y a pas de marquage au sol donc je suis vraiment aux sensations et ça marche pas mal. On finit la montée, et place à la récup dans la descente. je maintiens un bon rythme. Je ne suis pas vraiment dans un groupe, je double et me fais encore doubler à ce stade. Second tour sans trop d'histoires, je fais attention à ne pas me mettre dans le rouge.

Fin du second tour en 14'36" pour 181 pulsations de moyenne. Ca reste tout à fait correct, et je sens que j'en ai sous le pied. Je calcule qu'à ce rythme je devrais finir sous les 43'. Petit coup d'adrénaline, et si je battais mon record de 42'59" sur 10 km ? Ce serait une sacrée surprise, je ne m'en pensais pas capable.

J'entame donc ce troisième tour avec confiance et ambition. Dans la descente, je double un peu en encourage un coureur qui me dit commencer à souffrir à m'emboiter le pas. Cette fin de course sera vraiment sympa car on se parle entre coureurs, pour s'encourager. Au début de la montée, donc à environ 1,5 km de la fin, je suis dans un petit groupe de 4 coureurs.

Au milieu de la montée, je prends le relais avec un mot de soutien pour mes compagnons. Je me sens toujours extrêmement bien, je ne force pas, et pourtant je n'ai pas levé le pied. Virage à gauche, l'arrivée est au bout de la ligne droite, cette fois je lâche les chevaux, et je sens mon coeur s'emballer (j'atteindrai les 195 quand même). Mais les jambes répondent présent, et je poursuis cet emballement jusqu'à couper la ligne, après un troisième tour en 14'27" pour 185 pulsations de moyenne (donc une sorte de negative split).

Le chrono comble mes espérances, en 42'26" (à ma montre) soit plus de 30" de mieux que mon record. C'est inespéré et je profite de ce moment de satisfaction, en félicitant mes compagnons de course, qui sont arrivés juste derrière. Sans accrocs, je profite du ravitaillement, et je ne traine pas pour rentrer chez moi pour ne pas attraper froid. Au passage je salue les sonneurs de cors qui ont égayé la course.

Au final, une course très sympathique, je n'ai pas tant souffert du relief que je le croyais, et même si la distance n'est pas homologuée FFA, ce qui me fait douter de la validité du temps, j'ai passé un excellent moment. Le public était peu nombreux, concentré sur le point d'arrivée, mais ses encouragements étaient chaleureux. L'organisation était parfaite, je repars avec un bonnet et un T-shirt (mieux que sur certains marathons de la capitale, hmmmm....).

Et en outre, je termine en forme, pas de courbature, le footing de décrassage pour rentrer sans aucune difficulté, pas une promenade de santé mais pas loin. Voilà qui fait plaisir après mes mésaventures du Marathon de Paris, ça réconcilie avec la compétition. Vive les petites courses de quartier sans pression !

Facile sur la course

Avant un CR plus détaillé, juste un mot (euphorique) pour dire que j'ai couru ce matin les foulées du Luxembourg comme prévu.

J'ai couru décontracté et sans pression, sans me déchirer, et pourtant je termine en 42'26", record personnel battu de plus de 30" sur un parcours jamais plat (même le dénivelé n'est pas trop impressionnant). Bon, le temps est à prendre avec réserve car ce n'est pas homologué FFA, je ne suis pas sûr que ça faisait vraiment 10 km.

Mais je suis très heureux quand même, les sensations étaient vraiment excellentes et l'ambiance sur la course très conviviale. Je raconte tout ça plus en détail dès que je peux.

Prochaine course au Luxembourg

Pour reprendre contact avec la compétition, me voilà depuis ce soir inscrit pour les Foulées du Luxembourg, le 30 septembre prochain, sur la course de 10km.

Non, je ne vais pas prendre le TGV Est car il s'agit du parc du Luxembourg, à quelques hectomètres de chez moi, ce qui sera bien utile car le départ est très matinal : 9h. Le parcours est sans doute assez accidenté, ça a l'air de beaucoup serpenter donc il ne s'agira pas de battre un record mais plutôt de me faire plaisir et de mesurer ma forme.

C'est toujours agréable de se projeter dans une course à venir, il y a toujours une excitation, une appréhension positive. Je n'ai plus qu'à me préparer correctement.

Un si beau sourire

Cruelle la photo de moi sur la ligne d'arrivée du marathon de Paris. J'arbore un sourire pas si crispé que ça, je n'ai vraiment pas l'impression (à me regarder) d'être à bout...

En tous cas celle-là il faut que je la conserve soigneusement, c'est mon seul souvenir de l'arrivée... ,-)

Au passage, un énorme bravo à tous les coureurs du marathon de Londres, qui ont apparemment dû affronter le même type de conditions. Tout spécialement bravo à riri06 qui en aura profité le plus longtemps mais qui est arrivé au bout, c'est ce qui compte !

Un sérieux rappel des priorités

Ce marathon de Paris me laisse une sensation amère, alors que je réalise un chrono tout à fait inespéré vu les conditions de chaleur. Perdre le contrôle de soi-même, avoir la sensation de mettre sa santé en danger remet en perspective tout l'enjeu de la course à pied. Et comment garder un bon souvenir d'une course où vous ne vous souvenez pas du meilleur moment : le franchissement de la ligne d'arrivée...

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Coup de chaleur

J'ai terminé ce marathon de Paris infernal, mais dans quel état !

3h36'23", j'améliore grandement mon record perso sur la distance, mais au prix d'une hyperthermie qui fait que j'ai terminé à la Croix-Rouge. Pas brillant donc, pas de quoi être fier car il faut connaître ses limites. Et décidément la chaleur ne me réussit pas.

Récit plus long bientôt... Merci à tous de vos encouragements...

Aspects pratiques et objectifs

Dimanche, marathon de Paris ! L'entraînement est terminé, je ne peux plus rien faire pour modifier mon état de forme si ce n'est me baffrer de pâtes et essayer de bien dormir.

Tous les détails pratiques à ne pas oublier se bousculent dans ma tête. D'abord, les conditions météo. Il fera beau, et surtout il fera CHAUD ! 15° prévus à 8h, 25° prévus à 14h. Autant dire qu'on ne va pas avoir froid, que l'hydratation sera déterminante et qu'il n'est pas question de viser la super perf.

Côté habillement, je serai donc le plus léger possible. Adieu, T-shirt CLM, ce sera débardeur. Et puis casquette, que j'essaierai de mouiller régulièrement. Les ravitaillements justement, c'est le point faible de ma préparation. je n'ai pas testé les boissons d'effort ou les gels pendant les séances longues, honte sur moi ! Vu la chaleur, je ne peux pas me contenter d'eau simple, il me faut des sels minéraux. Alors je vais y aller au bluff: à moi le Powerade quand il y en aura, et les gels régulièrement, surtout contre les crampes. Un peu de bananes pour éviter la fringale et ça devrait passer...

Mon plan de course sera aussi impacté par les conditions. Avec cette chaleur, hausse prévisible des pulsations ! Même si j'ai travaillé le 12 km/h en allure spécifique, il faudra que je donne la priorité au cardio (s'il fonctionne). Je connais ma tendance à la dérive cardiaque sur les courses (j'ai fini le marathon de NY à 9km/h et 190 pulsations). Donc mon objectif sera de ne pas dépasser 165 sur les 10 premiers kilos, 170 jusqu'au semi, 175 jusqu'au 30. Au-delà, ce n'est plus le plan de course qui décide. Si je m'y suis tenu jusque-là ce sera déjà remarquable.

Si toutes ces conditions le permettent, j'aimerais viser une allure en 4'55" et 5'05" au kilo, mais encore une fois, il faudra que je donne la priorité à la régulation cardiaque pour ne pas me griller (ce qui devrait être le cas vu la météo). Donc mon objectif peut être résumé comme ceci : moins de 3h40, je suis HEU-REUX. Moins de 3h35, je suis AUX ANGES. Moins de 3h30, c'est un MIRACLE !

Voilà, je souhaite bonne chance à tous ceux qui prendront le départ dimanche, particulièrement les blogueurs dont j'ai suivi la préparation "parallèle". Une pensée aussi à tous ceux qui ne pourront pas prendre le départ pour cause de blessure, j'ai suffisamment connu cette situation pour savoir quel pincement au coeur cela produit. Et j'espère voir un maximum de CLM au RV d'avant course à 7h30...

Le nouveau plan de Paris

L'organisation du marathon de Paris se met à Google Map et propose un nouveau plan de la course.

Très bel usage de cette application remarquable, la carte est navigable, on peut afficher le nom des rues, on voit les stations de métro pour les spectateurs. Même New York ne l'a pas encore fait à ma connaissance ! Pourtant ça aurait été utile à ma femme et moi pour prévoir nos points de rendez-vous...

Pour une fois que Paris est en pointe...

Retour à froid sur New York

Plus de deux semaines se sont écoulées, et je n'ai pas encore tiré vraiment le bilan de ce marathon de New York.

D'abord les points négatifs :

  • le chrono d'abord, 4h08, 11' de plus que mon premier marathon, pour lequel je n'avais pourtant que 15 jours de préparation suite à une sortie de blessure ! Il faut dire que j'ai pas mal baguenaudé, pris des photos, que le parcours est plus irrégulier qu'à Paris, etc. Mais bon, pas de quoi être fier.
  • la gestion des ravitaillements ensuite, les ravitos tous les miles, ça me perturbe. Trop d'arrêts-relances, trop de verres d'eau glacée qui m'ont sans doute fait plus de mal que de bien. Même pour les gels, je ne suis pas sûr d'avoir fait les bons choix.
  • la fatigue de fin de course. J'ai (encore) eu des débuts de crampe au mollet. Heureusement c'est passé et j'ai été moins gêné qu'à Vannes mais quelle que soit la préparation, j'ai toujours cette faiblesse. Autre élément de fatigue, une dérive cardiaque sur les derniers miles, où j'atteignais les 190 pulsations alors que mon rythme déclinait. Impossible d'allonger la foulée dans ces conditions. Peut-être un problème d'hydratation car ce n'est pas la chaleur qui est en cause.
  • la prestation de Ouest-Voyages, assez quelconque. Hôtel vieillot, pas de petit-déj spécial marathon, à peine un petit sac à dos et un T-shirt très banal (donc peu d'encouragements sur le parcours), accompagnateurs quasi-transparents. Seul point positif, le bus dédié qui amène directement au départ le jour de la course. Avec WC en plus ! Un point extrêmement important !

Mais je retiens surtout les points positifs :

  • j'ai passé un super bon moment ! L'ambiance autour de la course est géniale, j'en ai profité à fond, sans doute plus que si j'avais recherché une perf. Et puis, j'ai visité la ville, fait des sorties. Le marathon comme élément d'un voyage, c'est nouveau pour moi et je trouve ça vraiment excellent ! Sans parler du RDV CLM, un grand moment de convivialité... Et des points de rencontre avec ma petite femme sur le parcours, pleins d'émotions !
  • j'ai terminé ! C'était pas gagné après ma douloureuse expérience du marathon de Paris au printemps. Mon ischio reste assez fragile et je pense que toute hausse de rythme aurait pu mal se terminer. Finir sans blessure était donc déjà très satisfaisant.
  • la météo était parfaite !
  • la préparation s'est bien passée... sur 10 semaines. J'ai pu effectuer le plan d'entraînement comme prévu jusqu'à cette alerte à l'ischio-jambier qui m'a conduit à tout stopper pour limiter les risques. L'option a été payante même si j'ai dû y perdre quelques minutes. En tous cas, je sais que je peux tenir ces plans marathon, c'est la première fois que je tiens presque 10 semaines. J'y ai pris plaisir en plus, j'ai adoré les séances longues sur la coulée verte. En revanche, il faut que j'y intègre plus de VMA car j'ai l'impression que celle-ci a fondu.

Au passage, j'ai mis en ligne d'autres photos du séjour et de la course dans cette nouvelle galerie.

Mes prochains objectifs ? Viser 3h30 sur marathon (mon record reste à 3h43) et sans doute revenir ensuite à plus d'alternance entre course de masse, la foule, et course plus humaine à 1000-2000 participants.

La tête est encore à New York

Le marathon est encore bien présent dans la tête, maintenant que les jambes sont plus légères. Voici quelques liens pour prolonger le spectacle :

Allez, encore quelques jours de patience et je pourrai recommencer à courir...

Finishing is the only f... option

Tout avait commencé un samedi de juillet 2005, où tout un ensemble d'amis, de cousins et de parents s'étaient regroupés pour m'offrir le cadeau dont rêve tout marathonien: l'inscription à New York. Rendez-vous était donc pris pour l'édition 2006 pour laquelle je me suis bien préparé, tout en n'ayant aucune prétention chronométrique. Mes seuls objectifs : profiter, découvrir, admirer, vibrer et... finir !

Voilà donc le récit complet de cette course, "a bit on the long side", toutes mes excuses ! Mais c'est accompagné de photos "de l'intérieur".

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It's done !

Voilà vous avez le résultat en gras et les temps intermédiaires. Mais le plus intéressant sera le récit ! Trop génial mais que le marathon est beau et dur !

14489ème	  11583	 4152	Tiouz (31) , - 	4:07:51

0:30:17 0:58:48 1:26:47 1:55:37 0:00:01 2:25:41 2:54:49 3:24:10 3:54:30 9:27

Dernier billet avant décollage

Demain, je fais les valises. Hier, j'ai commencé à assembler la documentation nécessaire au voyage: le guide du routard, les principaux échanges du forum Thomas Cook, le guide officiel du marathon... Déjà plein de visites que j'ai envie de prévoir, je vais pas pouvoir tout caser en si peu de temps.

J'en ai profité pour imprimer le calculateur de rythme que j'avais déjà repéré l'an dernier. J'ai choisi un temps de 4h00, mais en fait je me fiche un peu du chrono, seules les sensations compteront. Hier, je relisais le follow the blue line de Gérard Atlan: la gorge qui se serre, les frissons, je n'ose pas imaginer ce que ça donnera en vrai !

Bon allez, je n'insiste pas là-dessus, je vais plus pouvoir bosser ensuite. New York, me voilà !!!

Pas d'étincelle sur les quais

Un dimanche matin ensoleillé pour une course de masse, plus de 20 000 coureurs entre le bois de Boulogne et les quais de Seine. Ce semi de préparation, en vue du marathon de New York, s'est déroulé comme prévu, même si les CLMs étaient peu présents.

Cette course décidément très populaire est toujours aussi peu propice aux chronos selon moi, mais reste un must pour les Parisiens, surtout que Paris-Versailles n'a pas eu lieu cette année.

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Mission "20km" accomplie

Le compte-rendu suivra prochainement mais en deux mots, c'est fait ! 20km parcourus en 1h39'31" temps réel (je visais 1h40 !), non sans avoir un peu pioché mais sans finir trop explosé.

Accompagné d'un échauffement d'une vingtaine de minutes, et d'un décrassage d'une vingtaine de minutes également, ça fait une séance d'environ 2h20 à trois semaines du marathon de New York. Maintenant, baisse progressive de la charge d'entraînement pour arriver en forme de l'autre côté de l'Atlantique (où il y a une vague de frois apparemment !).

NY: S9/12 - J3 : compétition semi-marathon

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