Câest là que ça coince. Manifestement, 35 000 inscrits, câest la surcharge ! Je reprends un peu mes esprits et me laisse porter par la masse dâarrivants : récupération des puces, distribution des jolies capes de pluie bleues (pratique pour la rando ça !), ravitaillement (léger dâailleurs) : câest la cohue et ça ne fait que commencer.
Arrivée aux vestiaires, câest toujours autant la pagaille. Je me change, avale deux Doliprane. Puis jâessaie de rejoindre ma femme : le rendez-vous est fixé au panneau alphabétique O. Après avoir péniblement progressé de 100 ou 200 mètres dans une foule compacte, je mâaperçois quâil nây a pas de panneau alphabétique, contrairement à ce qui était annoncé. Dépité, énervé, je trouve un coin de pelouse pour mâétirer, tourne, tourne, sans succès. Le fait de ne pas pouvoir partager ce moment est vraiment décevant, lâorganisation a vraiment foiré ! Je nâétais pas le seul dâailleurs à être perdu. Comme en plus les téléphones portables ne passaient pas (congestion), impossible de se joindre même en empruntant un mobile à quelquâun.
Moralité, obligé de rentrer seul, la joie était gâchée, quel dommage !