1h20 footing
Pas très frais le Tiouz en ce dimanche matin. La maisonnée est (r)endormie mais je décide de sacrifier un peu de sommeil pour pouvoir aller courir, avant qu'il ne fasse trop chaud en plus. Je pars donc vers 7h15 (faut vraiment pas être frais pour partir si tôt un dimanche), et je m'aperçois vite que je peux oublier toute idée de fraicheur. Il fait déjà presque chaud, et ma condition physique n'est pas exemplaire.
J'emprunte la coulée verte pour le même parcours que la semaine dernière. L'allure est un tout petit peu plus lente, le coeur un peu plus haut, merci le soleil. Je cours tranquillement, avec une pensée pour ceux qui vont participer à la course du château à Vincennes. Dans cette fournaise, je n'aimerais pas faire un 10 km, l'an dernier j'ai fait un coup de chaud comme ça à Combs la Ville dans des conditions analogues.
Même parcours que la semaine dernière donc, l'aller en 40'31", pour 148 pulsations (+30") et le retour en 39'06" pour 153 pulsations (+23"). Bilan, 1h19'38" pour 13 km. A noter quelques signaux moyens dans les jambes, à surveiller.
Commentaires
Salut Tiouz,
j'y etais hier matin à Vincennes dans la fournaise
Malgré une chaleur cassante, j'ai fait péter le chrono bien comme il faut. :=!
Mais l'organisation n'a pas été à la hauteur en particulier au ravito, inacceptable.
Le service de secourisme débordé...à la rescousse: 2 ambulances du Samu (police)
Meme des coureurs de l'élite ont jeté l'eponge apres le km 7...en parlant d'eponges, elles n'etaient pas
non plus au menu de la course.
Mais bon, une belle course quand meme et une belle ambiance de folie !
Zyend
Et bien en fait, il y avait de l'eau, mais pas assez !
Des coureurs de CLM m'ont dit qu'ils ont du attendre plusieur sminutes pour choper un gobelet à moitié rempli !
Heureusement à l'arrivée, il y avait des bouteilles d'eau et des stands assez fournis.
Comment j'ai fait pour faire un chrono dans ces conditions ???
Je l'avais promi le matin même à ma tite fille dans son couffin :=! -_-
J'pouvais pas revenir à la maison bredouille
La paternité, ça donne des ailes